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Une agriculture durable
Asperge Verte Chambord : une agriculture durable
L’asperge verte CHAMBORD est une culture pérenne qui est mise en place pour 10 ans : il faut 3 années pour installer la culture et préparer la première récolte.
Les récoltes se font ensuite chaque année au printemps et s’échelonnent sur environ 8 semaines.
La production d’asperges est donc un engagement sur le long terme qui impose de respecter à la fois le cycle de la plante et son environnement pour assurer dans la durée une production de qualité.
Cette production fait l’objet d’un suivi technique très rigoureux.
De plus, par un partenariat avec la chambre d’Agriculture, les producteurs d’asperges vertes CHAMBORD cherchent à développer un système de production toujours plus respectueux de l’environnement. Quelques exemples illustrent leur professionnalisme :

Développer une production BIO
La mise en place d’une production respectant les règles de l’agriculture biologique est effective depuis 2010.
Limiter les traitements contre les maladies
Pendant la période de végétation qui suit la récolte, les traitements sont strictement limités aux situations où ils s’avèrent indispensables.
C’est l’observation au champ complétée par l’évaluation du risque obtenue à partir d’un modèle climatique qui permet de prendre les justes décisions.
Aucun traitement n’est jamais appliqué sur l’asperge elle-même, que ce soit pendant ou après la récolte : l’asperge verte CHAMBORD fait l’objet de contrôles réguliers qui confirment sa qualité.

Maîtriser la ressource en eau

Pour obtenir une asperge verte Chambord de qualité, la pluviométrie naturelle, notamment en été, nécessite des apports d’eau complémentaires.
Pour ajuster les irrigations au plus près des besoins de la plante et éviter tout gaspillage, plusieurs méthodes permettent à chaque producteur de disposer d’informations très précises (sondes tensiométriques, bilan hydrique, logiciels spécialisés…).
Ajuster la fertilisation
Les apports d’engrais azotés sont également adaptés au besoin de la plante en tenant compte des disponibilités mesurées par les analyses de terre pratiquées chaque année.
Cette technique permet d’éviter les excès de fertilisation et les risques induits de pollution.